Salam aleikoum !
Après une traversée paisible, où rien de particulier n’est à noter (et non, pas de casse cette fois !), nous arrivons à Monastir le 17 août, pour l’anniversaire de Morgane.
Nouveau pays, nouveau continent, le changement est ici plus important que lors des précédentes escales européennes.
I- Le climat
Très lourd, très humide, sans un souffle d’air, l’atmosphère est vraiment oppressante…mais pouvait-on s’attendre à autre chose mi-août en Tunisie ?
II- Le souk
Toutes ces boutiques, offrant toutes les mêmes produits « typiques », fonctionnent sur le même principe : des devantures surchargées, des vendeurs qui viennent chercher le badaud de manière déterminée, voire insistante, sur le trottoir vers l’intérieur des échoppes (où l’on fera forcement une très bonne affaire, « j’te l’jure sur la tête de ma mère…et ma mère, j’l’aime bien ! ».
III- Le marché
Par l’odeur guidés, nous nous avançons vers le marché couvert, pour un spectacle peu ordinaire. Méli-mélo de poissons et crustacés sur des étals en béton, pendouillage de viandes tout aussi variées en vitrine, grand mélange d’épices et herbes dans les allées. Le tout observé, tâté, pesé, comparé et acheté par une foule de Tunisiens et de touristes (Français pour la plupart) dans un vacarme impressionnant.
IV- Les plages
Ou plutôt de petites avancées de sable au milieu des rochers, bourrées de monde. Les vacances scolaires permettent aux Tunisiens de goûter aux joies de la baignade, dans une eau chaude et très salée. Les femmes se baignent fort vêtues, cela surprend au début, et change des étalages de monokinis des précédentes étapes.
Voici résumée notre première étape tunisienne. Niveau technique, nous profitons de cette halte pour réparer le pilote, le génois (de nouveau), et racheter une girouette (celle qui avait pris son envol lors de la traversée Crête-Malte).
Le fort à l'entrée de Monastir
Le marché couvert, haut en couleurs, odeurs et discussions !
Le palais funéraire de l'ancien président du pays